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Un jeune homme préoccupé et anxieux marche en nature. Démontre la charge mentale et émotionnelle des millénairaux.

#Génération #anxiété

S’apaiser. Comment?

Le stress est partout autour de nous,
dans la menace et la peur du pire.
Mais aussi dans la peur du « pas assez ».

Combien sommes-nous à vivre avec la peur,
sournoise et récurrente,
de ne pas y arriver?

De manquer notre cible de peu.
D’être déçu.e
D’avoir mal.

« Ne pas arriver financièrement.
Ne pas arriver à me payer tout ce à quoi je rêve.
Ne pas arriver à tout faire ce que je veux faire aujourd’hui.
Ne pas réussir « ma vie » ou ma carrière comme je l’aimerais.
Ne pas arriver à cet idéal que je cultive.

Ne pas obtenir l’emploi.
Ne pas obtenir le salaire.
Ne pas me voir offrir l’opportunité.

Me tromper et devoir recommencer.
Ne pas être une assez bonne personne.
Ne pas arriver à être entendu.e
Ne pas arriver à changer le monde. »

Tout juste avant la pandémie, nous avons tenu un webinaire
qui faisait état de la santé psychologique en souffrance de la nouvelle génération.
C’était déjà désolant et préoccupant.

Dans nos ateliers,
les discussions s’enflammaient autour de l’étiquette #génération #burnout

Avec tout ce qui se passe présentement, ne nous leurrons pas : c’est difficile.

C’est difficile de vivre d’un côté avec le deuil de notre quotidien aussi bouillonnant que douillet.
Difficile de vivre avec le deuil de notre insouciance ou de notre optimisme.
Difficile de vivre avec nos espoirs individuels et collectifs compromis.

Suffit de faire un saut sur les médias sociaux pour le remarquer.
Ça va donc ben mal!

C’est vrai que ça ne va pas trop bien.
Mais on peut-tu être heureux quand même?

Même si on manque notre cible.
Même si notre plan A ne fonctionne pas.
Même si on doit souffrir, s’ennuyer, demander de l’aide?

Est-ce qu’on peut-être heureux quand le monde tourne à l’envers de nos valeurs?

Non. Et oui.

Et si on troquait notre optimisme d’avant non pour le défaitisme,
le cynisme ou le déni, mais pour l’acceptation?

L’acceptation du monde tel qu’il est.
Pas très reluisant présentement.

L’acceptation de nos vies pas mieux que les autres,
c’est à dire celles des générations qui nous ont précédées.

Des vies marquées par le laid quand on regarde de loin,
mais aussi par le beau quand on s’approche suffisamment.

Et si on se devait d’observer calmement et d’accepter tout ça

AVANT
de faire quelque chose.

AVANT
de nous engager dans le changement ou dans l’action?


ACCEPTER. OBSERVER. AGIR.

On ne changera peut-être pas le monde,
mais on peut cultiver chaque jour la satisfaction d’avoir fait un pas
en cohérence avec ce qui compte vraiment à nos yeux.

 

 

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